"Je pense : merde, ma Rolex, et je regarde mon bras... qui n'est pas mon bras. Un petit avant-bras malingre, tout blanc, tout rose, sans un poil, et au bout, il y a une main. Avec cette main, je touche mon visage. Mon nez me paraît pointu, mes pommettes aussi. Putain, je ne suis pas moi. » Gabriel Katz La nuit des cannibales