« J'ai senti mes poumons comme écorchés en dedans par des ongles, comme si quelqu'un avait lancé de la poudre de chili rouge dans mes narines. J'ai inhalé à nouveau et c'était pareil. J'ai grippé ma gorge et fermé les yeux qui me brulaient et larmoyaient. Puis j'ai tenu le bord de mon sari contre mon nez dans l'espoir de dissiper quelque peu les épices dans l'air mais rien ne parvenait à assainir l'atmosphère... Si Prakash était venu me prendre à l'arrivée de mon train deux heures plus tôt, j'aurais été sauvée, hurlai-je intérieurement... » Amulya Malladi Une bouffée d'air pur