« En cette fin d'après-midi, l'épaisse pollution n'a pas eu tout à fait raison de l'éclat du crépuscule. Une douceur rose survit et se répand. Jeanne lui avait dit souvent la beauté des soirs d'été, la lumière qui décline, le rouge diffus qui se cache dans les nuages et s'étire dans leur souvenir. Bulle buvait les paroles, et jalousait. Car jamais elle n'avait pu contempler ce spectacle. Parce que ces soirs-là n'existaient plus, ils étaient obstrués. Le ôsecret des affairesö les avait étouffés. » Jennifer Murzeau La désobéissante