« Je m'étais essayé au métier d'assistant juridique dans un cabinet d'avocats spécialisé en droits civiques, mais ça n'avait pas marché. Ce boulot s'approcha le plus des rêves que nourrissaient mes parents de me voir devenir avocat. Comme la plupart des Juifs soviétiques, comme la plupart des immigrés de pays communistes, mes parents étaient profondément conservateurs et n'avaient jamais fait grand cas des quatre années passées dans ma fac de gauche à étudier le marxisme et l'écriture." Gary Shteyngart Mémoires d'un bon à rien